Ce qui nous réunit tous les trois, c’est cette fragilité éprouvée, assumée. Entre Marianne Guillou avec ses visages d’argiles, Ludovic de Valon, alchimiste des nuances de couleurs végétales, et moi, Maëlle de Coux et mes reliques du temps qui passe il y a une intime conviction, comme une loi qui régirait notre univers et nos rapports aux autres. Cette pensée du « Plus fragile que moi et je te protège » est la garantie du sensible, de l’émotion, de notre humanité, ou, simplement, de la poésie
Le fil de l'eau, une barque, c'est une femme qui rame. Nouvelle série "Les rameuses"
Aller vers l'avenir tout en regardant le passé.


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